50 médecins, naturopathes et nutritionnistes en faveur de l'usage du plasma marin

 

Traduction du manifeste paru sur le site de l'association espagnole Aquamaris : http://www.aquamaris.org/manifiesto-de-medicos-a-favor-del-agua-de-mar-como-fuente-de-vida-y-salud/

 

 


« SOURCE :
par respect pour les milliers de personnes qui ont placé leur confiance dans le pouvoir thérapeutique de l'eau de mer et les médecins qui la prescrivent depuis plus de 8 ans au Nicaragua, les signataires ci-dessous affirment :


1- Que les bases scientifiques de ce que nous appelons la méthode marine ont été instaurées par le grand scientifique français René Quinton, il y a plus de 100 ans en France. Par ses découvertes scientifiques importantes (on l'appela le « Darwin français ») et pour avoir sauvé des milliers de vies des maladies qui décimaient la population dans les hôpitaux de l'époque, il eut le mérite de recevoir la reconnaissance de la communauté scientifique de Paris, lorsqu'il reçut le prix de l'Académie des Sciences de France, équivalent du Prix Nobel de nos jours. Sollicité par le Roi d'Égypte, il mit fin a une épidémie de choléra qui y sévissait.


2- Il reste de son œuvre le célèbre Plasma de Quinton dont la composition est nettement de l'eau de mer, vendu dans les pharmacies européennes et présente dans le Vidal, étant alors remboursé par la sécurité sociale. Il est aujourd'hui encore prescrit par des médecins en Europe et est d'un usage obligatoire pour beaucoup d'athlètes de compétition, de part son haut pouvoir énergisant, par exemple chez les cyclistes qui concourent au Tour d'Italie et au Tour de France.


3- L'eau de mer se vend telle quelle, en boisson, dans plusieurs pays d'Europe. Il existe une marque espagnole d'eau de mer, en bouteille bleue avec l'étiquette Xxxx (non traduit).


4- L'eau de mer est aussi commercialisée au Canada où elle est envoyée dans le reste de l'Amérique Latine avec le nom commercial de Ocean Plasma.

 

(en France vous pouvez en trouver en vente par de nombreux laboratoires sous forme d'ampoules ou par litre, ici même avec un meilleur tarif, NdT)


5- Nous avons implémenté la Méthode Marine depuis 2003 au Nicaragua, et à de nombreuses occasion nous avons offert des formations aux professionnels de la santé ainsi qu'aux usagers, avec la participation de scientifiques importants de niveau international comme :


  • Laureano Domínguez, journaliste d'investigation colombien qui, après avoir remis à jour l’œuvre de René Quinton en France, a apporté en Amérique Latine et en Espagne la Méthode Marine. Auteur de plusieurs livres, il occupe plusieurs fonctions de direction au sein des fondations Aquamaris et Ondimar, toutes deux espagnoles et diffusant la Méthode Marine dans le monde. Il a visité le Nicaragua et nous a formés a différents niveaux, entres autres le MINSA, à trois reprises, visitant également la Côte Atlantique (RAAN et RAAS).

  • Le Dr. Wilmer Soler, en chaire de la Faculté des Sciences Médicales de l'Université d'Antioquia, Medellín, Colombie. Il a réalisé au moins 6 études scientifiques publiées sur l'usage thérapeutique de l'eau de mer, dont l'une fut récompensée du Premier Prix National de Sciences de Colombie. Ces études démontrent essentiellement que l'eau de mer est inoffensive pour les cellules sanguines et pour le génome humain (en de simples mots : NE PROVOQUE AUCUN DOMMAGE). Elles démontrent également que l'eau de mer ne provoque aucun problème sur les reins et le foie, ni les transaminases et ni la créatine ne se trouvent altérée après une consommation prolongée d'eau de mer.

    Le Dr, Wilmer a donné des cours de 2 heures aux facultés de sciences médicales de la UNAN-Managua et la UNAN-León à deux occasions. Il a également mené des formations à Puerta Cabezas et d'autres Universités et hôpitaux du pays.

  • Dr Ángel Gracia, scientifique espagnol, co-auteur du livre « le pouvoir guérisseur de l'eau de mer », président de la fondation Seawater. Il a également visité le Nicaragua afin de nous former dans divers domaines. L'un d'entre eux a été inauguré par Margarita Gurdián, alors Ministre Adjointe de la Santé, antérieurement Ministre de la Santé.

  • Héctor Bustos, scientifique mexicain, co-auteur du livre « le pouvoir guérisseur de l'eau de mer », enseignant chercheur à l'Université Autonome de Basse Californie. Prix National d'océanographie (2002). Il a donné des cours de formation à la Méthode Marine, avec le Dr. Wilmer Soler aux facultés de sciences médicales de la UNAN-Managua et la UNAN-León.


6- Aux cours de ces formations, au cours de 8 années, se sont formés plus de 300 médecins, infirmiers et personnels de santé du MINSA de Managua et de différents centres de santé et hôpitaux du reste du pays.


7- Lors des cours universitaires de formation académique sur la Méthode Marine nous avons pu connaître des études du Japon, d'Europe, de Colombie sur les cures de différentes maladies grâce à l'ingestion d'eau de mer. Ces études sont à la disposition de la communauté médicale et scientifique à la clinique Santo Domingo de PP Jesuitas à Managua (téléphone : 505-22222598).


8- Il y a des centaines de témoignages de patients guéris par l'eau de mer au cours de ces 8 années. Si les médias s'engageaient à les publier, nous pourrions en envoyer 2 par jour pendant au moins deux ans.


9- Il y a 66 dispensaires marins dans le pays, la majorité à Managua, mais aussi à Juigalpa, Somoto, Estelí, Masaya, Jinotepe, Diriomo, Granada, León, Tipitapa, Ticuantepe, Nagarote, etc. En ces lieux est distribuée gratuitement de l'eau de mer à la population.


10- Pour des raisons logistiques, l'eau de mer est habituellement recueillie en bord de mer, sur des plages propres, sans égout proche, ni rivières qui diminuent sa salinité. Grâce à de multiples mécanismes qui sont : l'osmose, la biocénose, le phénomène de dispersion, son haut contenu en chlore, les rayons ultraviolets, etc., l'eau de mer est exempte de microbes pathogènes. Cela est prouvé de fait par des analyses effectuées au Centre de Diagnostique Clinique du MINSA.

Quelques habitants la recueillent en haute mer sur des bateaux, ce qui n'est pas nécessaire, vu que cela augmente le coût du puisage.


11- L'eau de mer est acheminée en camions citernes et est entreposée dans des citernes en plastiques bien lavées. La capacité de stockage et distribution mensuelle à la Clinique Santo Domingo est de 6.000 litres.


12- L'eau de mer, selon des études réalisées à l'Université de Miami, contient tous les minéraux et oligo-éléments du tableau périodique, et de par sa teneur en zooplancton et phytoplancton quand elle est recueillie non loin de la surface de l'eau, est composée de protéines, vitamines et acides nucléiques, entre-autres nutriments. Ces bactéries propres à l'eau de mer (9 millions par litre d'eau) ont été étudiées par l'Université de Californie, démontrant qu'elle a des propriétés analgésiques, anti-inflammatoires et antibiotiques. (William Fenical, Chemical Review, 1993, 93, 1673-1683).


13- L'eau de mer a trois axes principaux d'action thérapeutique :

  • recharge hydroélectrique

  • rééquilibre fonctionnel enzymatique

  • régénération cellulaire

 

(Philippe Goeb, “Plasma Marin, Plasma Humain”)


14- Au sujet du rétablissement nutritionnel, nous pouvons voir un des cas guéri et sauvé de la mort par le Dr. René Quinton dans les dispensaires marins de France, grâce à l'effet thérapeutique de l'eau de mer. Il y en a beaucoup plus sur la page de la fondation Aquamaris (www.aquamaris.org) et dans le livre du Dr. Quinton : «L'eau de mer, milieu organique ».


Ne pas prendre en compte l'énorme pouvoir de récupération nutritionnelle de l'eau de mer et ne pas promouvoir son usage massif dans les pays où chaque année meurent des millions d'enfants par dénutrition, c'est se faire complice de ces morts !


15- Nous avons pu prouver, dans des centaines de cas, que l'eau de mer n'est aucunement contre-productive dans les cas d'hypertension artérielle, attendu qu'après plusieurs mois de consommation d'un demi-litre d'eau de mer quotidien les patients hypertendus parviennent à contrôler leur chiffres de tension et dans beaucoup de cas peuvent arrêter de suivre le traitement pharmacologique, sous contrôle médical bien évidemment.


16- Plusieurs cas d'insuffisance rénale diurétique chronique, avec oligurie ou anurie (ce qui veut dire en termes simples qu'ils n'urinent plus ou peu à cause de reins « paralysés ») s'améliorent en ingérant de petites quantités d'eau de mer, toujours sous contrôle médical stricte, commencent à produire de l'urine, et l'on a vu des baisses de la créatine (le dernier cas du Dr. Villavivencio, qui après 3 mois d'eau de mer a vu le taux de créatine passer de 12 à 4 !!!). Cela vient du fait qu'elle a un pouvoir stimulateur du néphron (cellule rénale) et qu'elle est diurétique.


17- Il y a de nombreux cas au Nicaragua d'élimination de calculs rénaux avec de l'eau de mer, avec ultrasons avant et après.


18- L'un des premiers cas traités à la clinique Santo Domingo fut un cas de cirrhose hépatique (le foie ne fonctionnait plus à cause d’antécédents alcooliques) et après 4 mois de prise d'eau de mer à raison d'un demi-litre quotidien le patient ne nécessita plus de paracentèse (lui ponctionner 2 litre de liquide ascitique par semaine), fut guéri et retourna au travail (témoignage filmé et conservé au centre d'information d'Aquamaris, à La Ceja en Colombie, et le patient est disponible pour donner son témoignage).


19- Des cas de maladies de la thyroïde (hypo et hyperthyroïdie) se sont améliorées avec l'ingestion d'eau de mer jusqu’au point où les patients ont pu arrêter ou diminuer la prise de médicaments (sous contrôle médical).


20- Des cas de cardiopathies sévères et d'arythmie se sont stabilisées et compensées grâce à l'ingestion quotidienne d'eau de mer (sous contrôle médical).


21- Des maladies de la peau se sont améliorées en quelques jours après l'ingestion et l'application topique d'eau de mer. Il y a également eu des améliorations du stress, de la dépression et de l'insomnie, en parvenant à arrêter les traitements anxiolytiques et antidépressifs (du type alprazolam, clonazepan, etc.). Sur des maladies rhumatiques les douleurs ont disparues dans la majorité des cas qui s'accompagnent d'un changement d'alimentation. On l'a utilisé comme aide à la désintoxication chez les alcooliques pour arrêter de boire avec de très bon résultats.


22- Pendant les congrès internationaux sur l'usage thérapeutique de l'eau de mer a été réalisée en parallèle la « semaine du naufragé », y démontrant clairement avec des témoins, que les naufragés n'ont pas à mourir en haute mer, ingérant par petites quantités de l'eau de mer qui s'isotonise en se mélangeant à l'eau métabolique que produit notre corps, produit des réactions biochimiques de nos cellules.


23- Le Nicaragua est devenu le premier pays consommateur d'eau de mer du monde, du fait de la massive expansion de la consommation de l'eau de mer au sein de notre population, soutenu par les innombrables témoignages de ses bienfaits, propagés de bouches à oreille, au-delà des commentaires désinformés.


24- Nous avons représenté le Nicaragua et ses précieuses expériences sur l'usage de l'eau de mer lors :

  • des premières et secondes Rencontres Internationales de Thérapie Marine « l'eau de mer, source de santé et de vie », à Fuerteventura, aux Îles Canaries en Espagne.

  • Du quatrième Forum de l'Eau au Mexique

  • de la septième Rencontre Internationale de l'Eau de Mer à La Ceja, en Colombie

  • de la troisième Rencontre Internationale de la Mer à Coatzacoalcos à Veracruz au Mexique

  • du deuxième Salon de la Coopération de Dakar au Sénégal


25- Un cours d'hydrologie marine : « le pouvoir guérisseur de l'eau de mer » a été reconnu d'intérêt sanitaire par l'Institut des Études de la Santé du département de Santé et Sécurité Sociale de la Généralité de Catalogne, à Barcelone (gouvernement catalan).


26- L'eau de mer s'utilise aussi en agronomie (Agriculture Biosaline, Arabie, Érythrée, Chine, Colombie, Mexique, etc.) et dans l'élevage, démontrant lors de différentes études universitaires à la UNA (Université Nationale Agraire) l'effet très bénéfique de l'ingestion d'eau de mer par le bétail pour une prise de poids plus rapide, la guérison et la prévention de différentes maladies.


L'eau de mer est la ressource naturelle la plus abondante de la planète Terre, composant plus de 70 % de celle-ci. Elle est gratuite et offerte généreusement par la nature à l'humanité. C'est une bénédiction de Dieu qui nous aide à récupérer la santé et nous maintenir avec énergie et avec un bien-être physique complet. La vie est née dans les océans primitifs (les premières cellules) et il reste dans l'eau de mer les éléments qui ont donné origine à la vie et qui, en les restituant à notre corps, à nos cellules, nous rendent la vie lorsque nous sommes malades.

Les patients en prennent en moyenne un demi-litre par jour, pure ou mélangée à de l'eau douce, avec des jus (orange, citron, ananas, tamarin, papaye, goyave, etc.) ou l'utilisent à la place du sel commun pour cuisiner (soupes, légumes, riz, haricots, etc.).

Nous n'avons aucune intention de faire quelque prosélytisme que ce soit, vu qu'en étant gratuite l'eau de mer, sa distribution et consommation ne correspond à aucun intérêt, ni pharmaceutique, ni personnel, ni mercantile et ni commercial. Nous autres êtres humains avons reçu le libre arbitre de choisir et ingérer les aliments et boissons que nous considérons pertinents pour notre santé et bien-être.

L'objectif de ce programme de diffusion de la Méthode Marine est d'atteindre les pays les plus pauvres de la planète pour sauver, au moyen d'ingestion d'un demi-litre d'eau de mer par jour, 10 millions d'enfants qui meurent chaque année de dénutrition dans le monde.


Nous offrons cette information aux médias éthiques afin d'éclaircir les doutes qui auraient pu naître par méconnaissance, et par respect à nos patients qui ont placé leur confiance dans cette méthode naturelle et inoffensive de récupérer la santé. Les résultats sont bien visibles et nous ne pouvons pas les ignorer.

Nous sommes disponibles afin de présenter ces informations scientifiques et expériences médicales à qui voudra de bonne foi essayer cette méthode marine ou la diffuser auprès de ses patients.

htpp://dispensariosyoasismarinos.blogspot.com


Liste des médecins qui consomment et/ou prescrivent l'eau de mer : (non traduit, ce sont les noms des personnes et leur fonction) :


1. Dr. José Enrique Solis. Pediatra. Hospital Manuel de Jesús Rivera (La Mascota).

2. Dra. Marlene Bordas. Médica General. Directora de la Clínica docente de Ciudad Sandino.

3. Dra. María del Socorro Zepeda. Médica General. Maestría en Salud Pública. CEPS.

4. Dr. Luis Mairena. Médico especialista en Ortopedia y Traumatología. Policlínica Morazán.

5. Dr. José Francisco Somarriba. Médico especialista en Traumatología y Ortopedia. Hospital Roberto Calderón.

6. Dra. Liset Castillo. Médica Dermatóloga Pediátrica. Hospital Vivian Pellas.
7. Dra. Norma Estela Francis. Clínica de la Iglesia Nuestra Señora de los Ángeles. Tiene un dispensario marino.
8. Dra. Evelyn Kraudy. Psiquiatra. Fue Directora del Hospital Psiquiátrico. Tiene un dispensario marino.

9. Dr. Liberato Villavicencio. Médico Internista. Clínica de la Parroquia San Luis Gonzaga. Tiene un dispensario marino.

10. Dr. Juan Manuel López. Médico General. Médico de la Prepa/Internado de la UNAN-León. Difundió el método marino desde el Departamento de Bienestar Estudiantil de la UNAN-León.

11. Dr. Armando Matute. Médico Internista. Infectólogo. Decano de la Facultad de Ciencias Médicas de la UNAN-León.

12. Dra. Leonor Gallardo. Médica Salubrista. Docente de la Facultad de Ciencias Médicas de la UNAN-Managua. Fue Directora de la Cruz Roja.

13. Dra. Rosa Quintanilla. Pediatra. Médica docente de la Facultad de Ciencias Médicas de la UNAN- Managua.

14. Dr. Moisés Elías Bautista Lara. Médico General. Docente de la Facultad de Ciencias Médicas de la UNAN-Managua.

15. Dra. Violeta de Trinidad. Médica con especialidad en Otorrinolaringología. Hospital Regional de Jinotepe.

16. Dra. Alexandra Pereira. Médica Salubrista.

17. Dr. Eduardo de Trinidad Barboza. Médico Salubrista.

18. Dra. Mary Luz Dussan Márquez. Médica Salubrista.

19. Dra. Elba Luisa Largaespada. Médica General.

20. Dra. Olga María Chávez. Médica salubrista. Directora del Hospital Roberto Calderón.

21. Dr. Javier Lacayo Bossa. Médico General. Médico Homeópata. Director de la Clínica de Extensión Académica Monte Tabor. UPOLI.

22. Dr. Manuel Collado. Médico General Naturoortopático. Director de la Clínica Médica de la UPONIC. Tiene un dispensario marino.

23. Dra. Brenda Barahona. Médica General Naturoortopática. Decana de la Facultad de Medicina de la UPONIC (1). Tiene un dispensario marino.

24. Dr. Edwin Urbina. Médico General Naturoortopático. Decano de la Facultad de Medicina de la UPONIC (2).

25. Dra. Maura Flores. Médica General Naturoortopática. Presidenta de la Asociación de Médicos Naturoortopáticos de Nicaragua. Tiene un dispensario marino.

26. Dr. Santos Wilfredo López. Médico General Naturoortopático. Asesor de la Comisión de Salud de la Asamblea Nacional, para la elaboración de la ley de Medicina Natural y Terapias Alternativas.

27. Dra. Rubí María Selva. Médica General Naturoortopática. Es médica de “Naturaleza”. Tiene un dispensario marino.

28. Dra. Luisa Rojas. Médica General Naturoortopática. Tiene un dispensario marino.

29. Dr. Daniel Mayorga. Médico General Naturoortopático. Tiene un dispensario marino.

30. Dr. Roberto Ferguson. Médico General Naturoortopático. Tiene un dispensario marino.

31. Dra. Kenia Sánchez Gómez. Médica General Naturoortopática. Tiene un dispensario marino.

32. Dr. Mariano Mendoza. Médico General Naturoortopático.

33. Dr. Roberto Guerrero. Médico General Naturoortopático. Biólogo.

34. Dra. Silvia Juliana Robleto Hernández. Médica General Naturoortopática. Bióloga. Tiene un dispensario marino.

35. Dra. Victoria Bermúdez. Médica General Naturoortopática.

36. Dra. Digna Rosa Paredes Lara. Médica General Naturoortopática. SILAIS–Managua.

37. Dr. Sergio Zamora. Médico General Naturoortopático. Tiene un dispensario marino.

38. Dra. Ivania Espinoza Solórzano Balladares. Médica General Naturoortopática. Odontóloga. Departamento de Higiene y Seguridad de la Alcaldía de Managua.

39. Dr. Rafael Mairena. Médico General Naturoortopático.

40. Dr. Rodolfo Urbina. Naturista. Nutricionista. Tiene un dispensario marino.

41. Dra. Verónica Barreto. Naturista. Nutricionista.

42. Lcdo. Eduardo José Jirón. Nutricionista.

43. Dr. Juan Diego Pérez. Homeópata.

44. Dra. Ivania Espinoza Solórzano Balladares. Médica General Naturoortopática. Odontóloga. Departamento de Higiene y Seguridad de la Alcaldía de Managua.

45. Dr. Rafael Mairena. Médico General Naturoortopático.

46. Dr. Rodolfo Urbina. Naturista. Nutricionista. Tiene un dispensario marino.

47. Dra. Verónica Barreto. Naturista. Nutricionista.

48. Lcdo. Eduardo José Jirón. Nutricionista.

49. Dr. Juan Diego Pérez. Homeópata.

50. Dra. María Teresa Ilari. Médica Internista. Homeópata. Gerontóloga. Directora de la

Clínica Santo Domingo de los PP Jesuitas. Tiene 2 dispensarios marinos.

Y muchos otros que no han podido ser contactados al momento de escribir este artículo.

Dra. María Teresa Ilari

teresa.ilari@gmail.com

Telef.: (505) 22222598, 88446688 ».

 

Traduit par Sébastien Vautelin du site http://www.sante-plasmamarin.com


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Nouvelles données sur la prévention de l'arthrose

 

  

Nous allons voir dans cet article comment l'exercice et l'alimentation sont deux facteurs primordiaux à prendre en compte pour prévenir l'arthrose. C'est un résumé avec les liens nécessaires à vous informer plus pleinement sur les dernières recherches.

 

 

 

Comment cela fonctionne-t-il ?

 

L'arthrose résulte d'une dégradation du cartilage articulaire.

 

Le cartilage recouvre les extrémités des os là où il y a articulation (cervicales, coudes, genoux, phalanges, etc.) et est lubrifié par un liquide appelé la synovie. Ceci permet une lubrification parfaite et évite ainsi les frottements et l'usure prématurée des os.

 

Or, le cartilage n'est pas irrigué par des vaisseaux sanguins. Sa seule façon de se procurer des nutriments pour se renouveler est que la synovie y pénètre et y circule car c'est dans la synovie que se trouve la nourriture des cellules protectrices de cartilage. Ce premier point nous permet de comprendre l'importance du mouvement pour votre cartilage : le mouvement permet au liquide de synovie d'irriguer le cartilage et de l'entretenir.

 

Les dernières recherches montrent aujourd'hui que c'est une mauvaise nutrition des vaisseaux capillaires des cellules dites subchondrales qui réduisent les apports en nutriments nécessaires aux cartilage pour se former et se renouveler. Et c'est donc ici que votre alimentation rentre en jeu. Dans la vidéo qui suit est expliqué le fonctionnement de ce processus. En résumé, évitez les aliments frits et/ou carbonisés et mangez de l'ail, de l'oignon et des poireaux (c'est un résumé!). Mais, et c'est pour cela que nous relayons cette information, notez que le plasma marin en complément alimentaire vous fournit tous les minéraux et oligo-éléments nécessaires à une bonne alimentation. Vu la qualité des aliments que l'on trouve dans le commerce aujourd'hui, autant mettre toutes les chances de votre côté !

 

En effet, une alimentation saine et riche en nutriments vous évitera de nombreuses maladies. Le plasma marin contribuera à cette bonne nutrition, accompagné d'exercices physiques. (voir ici comment le plasma marin assure une bonne nutrition cellulaire)

 

Voyez ici la vidéo.

 

Lien vers de plus amples explications, sur ce site.

 

Bien à vous !

 

Sébastien Vautelin.

 

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N'achetez pas de plasma de Quinton en ampoules !

Dans cet article, nous allons voir rapidement comment économiser sur le plasma de Quinton de manière très simple : en n'achetant pas le plasma marin en ampoules buvables.

 

Même si on pourrait penser que cette présentation rappelle les médicaments et compléments alimentaires bien emballés que l'on trouve souvent en pharmacie, une ampoule buvable n'est rien d'autre qu'un récipient qui vous offre 10 ml en dose individuelle, en verre.

 

Quel est l'intérêt de ce format ?

 

Est-ce que ça se conserve mieux ? Non, le plasma marin se conserve plusieurs mois sans aucun souci. Est-ce que l'on mesure mieux notre prise ? Oui, mais est-ce que c'est un médicament si puissant qu'il faille respecter des doses précises ? Non plus !

 

Un simple calcul nous éclaircit rapidement les idées : 30 ampoules à 10 ml, le tout vendu en moyenne entre 15 et 20 €, cela nous donne 300 ml à 20 €. Le meilleur tarif est de 400 ml à 16 €. Ce qui nous fait entre 40 € et 66 € le litre.

Soit 4 à 6 fois plus cher que le prix au litre chez semineraliser.com ! (à partir de 9 € le litre).

 

Pour les mêmes résultats, autant dépenser moins, non ?

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Se défendre des pollutions électromagnétiques grâce aux plasma marin

pollution électromagnétique stress

La présence aujourd'hui de nombreux appareils et câblages tout autour de nous (réseaux électrique, ordinateurs, portables, télévisions, wi-fi, etc.) soumet le corps à un stress électromagnétique qui est source de maladies, comme a pu le montrer expérimentalement le Dr Jean-Pierre Maschi dans son ouvrage Combat pour une idée, la pollution électromagnétique, aux éditions France Europe Éditions, en relatant les nombreux cas de malades largement apaisés, voire soignés, par les mesures d'hygiène générale prescrite par le médecin. Celles-ci consistent à se prémunir au maximum des charges électrostatiques résultantes dans notre organisme, à cause de notre présence baignée dans un environnement par trop «pollué» par les ondes électromagnétiques.

 

Il prodiguait des conseils simples comme : se rincer régulièrement les mains à l'eau courante, ne jamais porter de vêtements en synthétique, avoir un contact fréquent entre les pieds et le sol, éviter d'être trop près des installations électriques et des appareils qui marchent à l'électricité.

 

Son histoire est relatée ici.


Ainsi, notre environnement hyper artificiel, à base de ciment, de câbles, d'ondes et d'appareils fonctionnant là-dedans, est source de ce qu'il nommera un stress électromagnétique. Comme tout stress, le corps réagit par des réponses anti-stress.

D'autre part, la présence de plus en plus grande des ondes potentiellement nocives est partout, comme nous le rappel ce site suisse. C'est donc sans vraiment prendre la peine de s'assurer de la non nocivité des multitudes d'ondes que l'on utilise aujourd'hui que l'on n'hésite pas à bombarder les gens de partout, en tout lieu.

 

Nous sommes donc cernés, comme qui dirait ! C'est pourquoi, face à cette agression permanente, il faut absolument que le corps puisse se défendre sans s'user, sans quoi les maladies s’immiscent petit à petit dans l'organisme de chacun d'entre nous. Une bonne manière de se prémunir serait dans un premier temps de se distancier, s'éloigner de toutes ces ondes, de leurs sources. Mais c'est très difficile, à moins de choisir un mode de vie hors ville, et encore, en ayant des installations électriques spécialement conçues pour ne pas rayonner dans la maison. Mais il faudrait aussi que les écoles et les hôpitaux puissent s'équiper. Autant dire que ce n'est pas gagné. Sinon, il y aurait la possibilité de se vêtir avec des habits spéciaux anti-rayonnement. Est-ce que ça existe et peut-on les utiliser sans avoir l'air d'un farfelu paranoïaque en quête de pureté transcendantale au service d'un gourou étrange ?

 

Une solution pratique, peu coûteuse et totalement saine existe, et elle a en plus le mérite d'apporter de nombreux bienfaits pour votre santé : le plasma marin. Pourquoi ? Parce que on ne tombe pas malade des ondes en tant que telles, mais surtout du stress occasionné par celles-ci (comme on ne tombe pas malade de son chef de service tyrannique mais des effets du stress qu'il provoque sur la personne). Ce stress amène le corps à produire des quantités de cortisone ou adrénaline qui acidifient le terrain. Ce sont les hormones qui sont habituellement libérées en réponse au stress (voyez l'article Réduire les effets du stress avec le plasma marin).

Pour que le terrain en devienne pas excessivement acide, le corps utilise les minéraux pour balancer le pH, et nous sommes donc en carence de minéraux et oligo-éléments. Et c'est justement ce qu'apporte le plasma marin ! Et, de surcroît, de la manière la plus biodisponible qui existe ! En gros, on ne peut pas trouver mieux. C'est ce qu'explique le Pr Payá quand il dit « aujourd'hui, face à l'agression par les champs électromagnétiques auxquels nous sommes soumis […] on est dans une situation où on dirige toute la consommation de minéraux, de vitamines et de tous les éléments nécessaires faces à une défense contre un stress que je qualifierai d'électromagnétique [...]. Donc il faut augmenter les apports, et ce qu'on définit comme "apports théoriques journaliers", à mon avis, aujourd'hui n'a plus lieu d'être car on se trouve en situation de surconsommation d'éléments essentiels aussi bien au niveau minéral, anti-oxydants, vitamines etc. » (source ). On nous conseille des doses largement insuffisantes, en résumé.

 

Il est donc simple, peu onéreux et sain de se protéger un maximum grâce au plasma marin.

 

La méthode est accessible à toutes et à tous et consiste à se recharger du mieux possible en consommant du plasma marin en hypertonique (disponible ici) ou de continuer d'informer l'organisme en consommant régulièrement le plasma marin en isotonique (simple dilution de l'hypertonique avec de l'eau peu minéralisée dans les proportions de 1 volume d'hypertonique pour 3 volumes d'eau (voir l'article Différence entre plasma marin hypertonique et isotonique pour plus de précisions).

 

Bien à vous !

 

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cancer et plasma marin : une aide précieuse pour surmonter les traitements

Comme le signale Johanne Béliveau, naturopathe à la clinique de naturopathie de Sainte Thérèse, au Québec : « J’ai des clients qui avaient le cancer qui ont pris trois ampoules par jour pendant une bonne période et les résultats ont été très étonnants.
Il y a vraiment eu une diminution importante des métastases.
Je n’ai rien vu de mieux pour régénérer le corps ». (source ici).

Le plasma marin agit pour aider à mieux supporter les traitements contre le cancer. Qu'il s'agisse des chimio ou des radiothérapies, le traitement du cancer est lourd et l'organisme est soumis à un stress chimique qui le fragilise en même temps que de lutter contre les cellules malignes.

Le problème des traitements lourds contre le cancer est qu'ils sont très durs à supporter pour le corps et fatiguent énormément le malade qui doit mener un double combat : lutter contre les effets du cancer et lutter contre les effets secondaires des traitements. Ils sont nombreux et dépendent pour beaucoup de la qualité du traitement ainsi que des réactions personnelles de chaque malade. Mais ce qu'il y a de commun à tou(te)s, c'est le stress acide que provoquent les thérapies chimiques.
Comme le suggèrent les études sur les souris menées par l'Université d'Arizona, favoriser l'alcalinité du terrain renforce l'efficacité des traitements. De plus, comme le rappel cet article, le cancer ne se développe pas dans un environnement cellulaire bien oxygéné et alcalin.

Or, ce que permet le plasma marin, c'est justement de contribuer à rétablir l'équilibre acido-basique du corps grâce à ses nombreux minéraux, et d'améliorer le fonctionnement des cellules qui, respirant mieux, vont mieux mener leur rôle de nettoyage des déchets et ainsi rendre plus alcalin le terrain.

Et cela sans aucun effet secondaire.

Un produit comme celui-ci, naturel, hautement assimilable, sain et aidant autant à supporter les traitements ainsi qu'à empêcher la formation des cellules cancéreuses devrait donc être fortement conseillé aux malades.

 

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Sinusite et eau de mer, du plasma marin dans les narines

Cela fait déjà de nombreuses années que l'on trouve des produits pour diffuser de l'eau de mer isotonique dans les narines.

 

Miquel Pros, Docteur en médecine naturelle et générale à Barcelone nous donne un point de vue intéressant sur le rôle du nez et des sinus dans de nombreuses pathologies.

 

« On peut dire que l'eau de mer est le composé minéromédicinal le plus extraordinaire. Appliquée quotidiennement dans les narines, l'eau de mer résout une quantité de problèmes.

 

Le nez est l'endroit où se concentrent plus d'une quarantaine de pathologies, non seulement d'otites, bronchites, pneumonies, asthme, bronchites asthmatiques, ainsi que de plus importantes pathologies. Elles ont en commun cette sinusite silencieuse, une présence de mucosité qui fait qu'il se maintient de manière permanente une infection dans ces cavités.

Bien entendu, il arrive un moment où l'on ne plus rien attaquer à base d'antibiotiques, corticoïdes ou anti-inflammatoires et il devient alors plus simple de comprendre qu'en se lavant les narines à l'eau de mer, au même titre qu'on se lave les dents, on peut prévenir toutes ces pathologies. »(1)

 

Ainsi, le simple usage d'eau de mer isotonique permet d'éviter bien des tourments à celles et ceux qui enchaînent les pathologies sans jamais trouver de guérison.

 

Retrouver toutes les vertus de l'eau de mer ou plasma marin sur le site d'information spécialement dédié à ce produit naturel : http://www.sante-plasmamarin.com, et découvrez comment oublier votre médecin et votre pharmacien par de simples gestes.

 

Pour commander de l'eau de Quinton de l'Océan Atlantique de qualité alimentaire à un prix accessible: semineraliser.com

 

(1) : https://www.youtube.com/watch?v=L6iXj3QVPcA


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50 médecins, naturopathes et nutritionnistes en faveur de l'usage du plasma marin

 

Traduction du manifeste paru sur le site de l'association espagnole Aquamaris : http://www.aquamaris.org/manifiesto-de-medicos-a-favor-del-agua-de-mar-como-fuente-de-vida-y-salud/

 

 


« SOURCE :
par respect pour les milliers de personnes qui ont placé leur confiance dans le pouvoir thérapeutique de l'eau de mer et les médecins qui la prescrivent depuis plus de 8 ans au Nicaragua, les signataires ci-dessous affirment :


1- Que les bases scientifiques de ce que nous appelons la méthode marine ont été instaurées par le grand scientifique français René Quinton, il y a plus de 100 ans en France. Par ses découvertes scientifiques importantes (on l'appela le « Darwin français ») et pour avoir sauvé des milliers de vies des maladies qui décimaient la population dans les hôpitaux de l'époque, il eut le mérite de recevoir la reconnaissance de la communauté scientifique de Paris, lorsqu'il reçut le prix de l'Académie des Sciences de France, équivalent du Prix Nobel de nos jours. Sollicité par le Roi d'Égypte, il mit fin a une épidémie de choléra qui y sévissait.


2- Il reste de son œuvre le célèbre Plasma de Quinton dont la composition est nettement de l'eau de mer, vendu dans les pharmacies européennes et présente dans le Vidal, étant alors remboursé par la sécurité sociale. Il est aujourd'hui encore prescrit par des médecins en Europe et est d'un usage obligatoire pour beaucoup d'athlètes de compétition, de part son haut pouvoir énergisant, par exemple chez les cyclistes qui concourent au Tour d'Italie et au Tour de France.


3- L'eau de mer se vend telle quelle, en boisson, dans plusieurs pays d'Europe. Il existe une marque espagnole d'eau de mer, en bouteille bleue avec l'étiquette Xxxx (non traduit).


4- L'eau de mer est aussi commercialisée au Canada où elle est envoyée dans le reste de l'Amérique Latine avec le nom commercial de Ocean Plasma.

 

(en France vous pouvez en trouver en vente par de nombreux laboratoires sous forme d'ampoules ou par litre, ici même avec un meilleur tarif, NdT)


5- Nous avons implémenté la Méthode Marine depuis 2003 au Nicaragua, et à de nombreuses occasion nous avons offert des formations aux professionnels de la santé ainsi qu'aux usagers, avec la participation de scientifiques importants de niveau international comme :


  • Laureano Domínguez, journaliste d'investigation colombien qui, après avoir remis à jour l’œuvre de René Quinton en France, a apporté en Amérique Latine et en Espagne la Méthode Marine. Auteur de plusieurs livres, il occupe plusieurs fonctions de direction au sein des fondations Aquamaris et Ondimar, toutes deux espagnoles et diffusant la Méthode Marine dans le monde. Il a visité le Nicaragua et nous a formés a différents niveaux, entres autres le MINSA, à trois reprises, visitant également la Côte Atlantique (RAAN et RAAS).

  • Le Dr. Wilmer Soler, en chaire de la Faculté des Sciences Médicales de l'Université d'Antioquia, Medellín, Colombie. Il a réalisé au moins 6 études scientifiques publiées sur l'usage thérapeutique de l'eau de mer, dont l'une fut récompensée du Premier Prix National de Sciences de Colombie. Ces études démontrent essentiellement que l'eau de mer est inoffensive pour les cellules sanguines et pour le génome humain (en de simples mots : NE PROVOQUE AUCUN DOMMAGE). Elles démontrent également que l'eau de mer ne provoque aucun problème sur les reins et le foie, ni les transaminases et ni la créatine ne se trouvent altérée après une consommation prolongée d'eau de mer.

    Le Dr, Wilmer a donné des cours de 2 heures aux facultés de sciences médicales de la UNAN-Managua et la UNAN-León à deux occasions. Il a également mené des formations à Puerta Cabezas et d'autres Universités et hôpitaux du pays.

  • Dr Ángel Gracia, scientifique espagnol, co-auteur du livre « le pouvoir guérisseur de l'eau de mer », président de la fondation Seawater. Il a également visité le Nicaragua afin de nous former dans divers domaines. L'un d'entre eux a été inauguré par Margarita Gurdián, alors Ministre Adjointe de la Santé, antérieurement Ministre de la Santé.

  • Héctor Bustos, scientifique mexicain, co-auteur du livre « le pouvoir guérisseur de l'eau de mer », enseignant chercheur à l'Université Autonome de Basse Californie. Prix National d'océanographie (2002). Il a donné des cours de formation à la Méthode Marine, avec le Dr. Wilmer Soler aux facultés de sciences médicales de la UNAN-Managua et la UNAN-León.


6- Aux cours de ces formations, au cours de 8 années, se sont formés plus de 300 médecins, infirmiers et personnels de santé du MINSA de Managua et de différents centres de santé et hôpitaux du reste du pays.


7- Lors des cours universitaires de formation académique sur la Méthode Marine nous avons pu connaître des études du Japon, d'Europe, de Colombie sur les cures de différentes maladies grâce à l'ingestion d'eau de mer. Ces études sont à la disposition de la communauté médicale et scientifique à la clinique Santo Domingo de PP Jesuitas à Managua (téléphone : 505-22222598).


8- Il y a des centaines de témoignages de patients guéris par l'eau de mer au cours de ces 8 années. Si les médias s'engageaient à les publier, nous pourrions en envoyer 2 par jour pendant au moins deux ans.


9- Il y a 66 dispensaires marins dans le pays, la majorité à Managua, mais aussi à Juigalpa, Somoto, Estelí, Masaya, Jinotepe, Diriomo, Granada, León, Tipitapa, Ticuantepe, Nagarote, etc. En ces lieux est distribuée gratuitement de l'eau de mer à la population.


10- Pour des raisons logistiques, l'eau de mer est habituellement recueillie en bord de mer, sur des plages propres, sans égout proche, ni rivières qui diminuent sa salinité. Grâce à de multiples mécanismes qui sont : l'osmose, la biocénose, le phénomène de dispersion, son haut contenu en chlore, les rayons ultraviolets, etc., l'eau de mer est exempte de microbes pathogènes. Cela est prouvé de fait par des analyses effectuées au Centre de Diagnostique Clinique du MINSA.

Quelques habitants la recueillent en haute mer sur des bateaux, ce qui n'est pas nécessaire, vu que cela augmente le coût du puisage.


11- L'eau de mer est acheminée en camions citernes et est entreposée dans des citernes en plastiques bien lavées. La capacité de stockage et distribution mensuelle à la Clinique Santo Domingo est de 6.000 litres.


12- L'eau de mer, selon des études réalisées à l'Université de Miami, contient tous les minéraux et oligo-éléments du tableau périodique, et de par sa teneur en zooplancton et phytoplancton quand elle est recueillie non loin de la surface de l'eau, est composée de protéines, vitamines et acides nucléiques, entre-autres nutriments. Ces bactéries propres à l'eau de mer (9 millions par litre d'eau) ont été étudiées par l'Université de Californie, démontrant qu'elle a des propriétés analgésiques, anti-inflammatoires et antibiotiques. (William Fenical, Chemical Review, 1993, 93, 1673-1683).


13- L'eau de mer a trois axes principaux d'action thérapeutique :

  • recharge hydroélectrique

  • rééquilibre fonctionnel enzymatique

  • régénération cellulaire

 

(Philippe Goeb, “Plasma Marin, Plasma Humain”)


14- Au sujet du rétablissement nutritionnel, nous pouvons voir un des cas guéri et sauvé de la mort par le Dr. René Quinton dans les dispensaires marins de France, grâce à l'effet thérapeutique de l'eau de mer. Il y en a beaucoup plus sur la page de la fondation Aquamaris (www.aquamaris.org) et dans le livre du Dr. Quinton : «L'eau de mer, milieu organique ».


Ne pas prendre en compte l'énorme pouvoir de récupération nutritionnelle de l'eau de mer et ne pas promouvoir son usage massif dans les pays où chaque année meurent des millions d'enfants par dénutrition, c'est se faire complice de ces morts !


15- Nous avons pu prouver, dans des centaines de cas, que l'eau de mer n'est aucunement contre-productive dans les cas d'hypertension artérielle, attendu qu'après plusieurs mois de consommation d'un demi-litre d'eau de mer quotidien les patients hypertendus parviennent à contrôler leur chiffres de tension et dans beaucoup de cas peuvent arrêter de suivre le traitement pharmacologique, sous contrôle médical bien évidemment.


16- Plusieurs cas d'insuffisance rénale diurétique chronique, avec oligurie ou anurie (ce qui veut dire en termes simples qu'ils n'urinent plus ou peu à cause de reins « paralysés ») s'améliorent en ingérant de petites quantités d'eau de mer, toujours sous contrôle médical stricte, commencent à produire de l'urine, et l'on a vu des baisses de la créatine (le dernier cas du Dr. Villavivencio, qui après 3 mois d'eau de mer a vu le taux de créatine passer de 12 à 4 !!!). Cela vient du fait qu'elle a un pouvoir stimulateur du néphron (cellule rénale) et qu'elle est diurétique.


17- Il y a de nombreux cas au Nicaragua d'élimination de calculs rénaux avec de l'eau de mer, avec ultrasons avant et après.


18- L'un des premiers cas traités à la clinique Santo Domingo fut un cas de cirrhose hépatique (le foie ne fonctionnait plus à cause d’antécédents alcooliques) et après 4 mois de prise d'eau de mer à raison d'un demi-litre quotidien le patient ne nécessita plus de paracentèse (lui ponctionner 2 litre de liquide ascitique par semaine), fut guéri et retourna au travail (témoignage filmé et conservé au centre d'information d'Aquamaris, à La Ceja en Colombie, et le patient est disponible pour donner son témoignage).


19- Des cas de maladies de la thyroïde (hypo et hyperthyroïdie) se sont améliorées avec l'ingestion d'eau de mer jusqu’au point où les patients ont pu arrêter ou diminuer la prise de médicaments (sous contrôle médical).


20- Des cas de cardiopathies sévères et d'arythmie se sont stabilisées et compensées grâce à l'ingestion quotidienne d'eau de mer (sous contrôle médical).


21- Des maladies de la peau se sont améliorées en quelques jours après l'ingestion et l'application topique d'eau de mer. Il y a également eu des améliorations du stress, de la dépression et de l'insomnie, en parvenant à arrêter les traitements anxiolytiques et antidépressifs (du type alprazolam, clonazepan, etc.). Sur des maladies rhumatiques les douleurs ont disparues dans la majorité des cas qui s'accompagnent d'un changement d'alimentation. On l'a utilisé comme aide à la désintoxication chez les alcooliques pour arrêter de boire avec de très bon résultats.


22- Pendant les congrès internationaux sur l'usage thérapeutique de l'eau de mer a été réalisée en parallèle la « semaine du naufragé », y démontrant clairement avec des témoins, que les naufragés n'ont pas à mourir en haute mer, ingérant par petites quantités de l'eau de mer qui s'isotonise en se mélangeant à l'eau métabolique que produit notre corps, produit des réactions biochimiques de nos cellules.


23- Le Nicaragua est devenu le premier pays consommateur d'eau de mer du monde, du fait de la massive expansion de la consommation de l'eau de mer au sein de notre population, soutenu par les innombrables témoignages de ses bienfaits, propagés de bouches à oreille, au-delà des commentaires désinformés.


24- Nous avons représenté le Nicaragua et ses précieuses expériences sur l'usage de l'eau de mer lors :

  • des premières et secondes Rencontres Internationales de Thérapie Marine « l'eau de mer, source de santé et de vie », à Fuerteventura, aux Îles Canaries en Espagne.

  • Du quatrième Forum de l'Eau au Mexique

  • de la septième Rencontre Internationale de l'Eau de Mer à La Ceja, en Colombie

  • de la troisième Rencontre Internationale de la Mer à Coatzacoalcos à Veracruz au Mexique

  • du deuxième Salon de la Coopération de Dakar au Sénégal


25- Un cours d'hydrologie marine : « le pouvoir guérisseur de l'eau de mer » a été reconnu d'intérêt sanitaire par l'Institut des Études de la Santé du département de Santé et Sécurité Sociale de la Généralité de Catalogne, à Barcelone (gouvernement catalan).


26- L'eau de mer s'utilise aussi en agronomie (Agriculture Biosaline, Arabie, Érythrée, Chine, Colombie, Mexique, etc.) et dans l'élevage, démontrant lors de différentes études universitaires à la UNA (Université Nationale Agraire) l'effet très bénéfique de l'ingestion d'eau de mer par le bétail pour une prise de poids plus rapide, la guérison et la prévention de différentes maladies.


L'eau de mer est la ressource naturelle la plus abondante de la planète Terre, composant plus de 70 % de celle-ci. Elle est gratuite et offerte généreusement par la nature à l'humanité. C'est une bénédiction de Dieu qui nous aide à récupérer la santé et nous maintenir avec énergie et avec un bien-être physique complet. La vie est née dans les océans primitifs (les premières cellules) et il reste dans l'eau de mer les éléments qui ont donné origine à la vie et qui, en les restituant à notre corps, à nos cellules, nous rendent la vie lorsque nous sommes malades.

Les patients en prennent en moyenne un demi-litre par jour, pure ou mélangée à de l'eau douce, avec des jus (orange, citron, ananas, tamarin, papaye, goyave, etc.) ou l'utilisent à la place du sel commun pour cuisiner (soupes, légumes, riz, haricots, etc.).

Nous n'avons aucune intention de faire quelque prosélytisme que ce soit, vu qu'en étant gratuite l'eau de mer, sa distribution et consommation ne correspond à aucun intérêt, ni pharmaceutique, ni personnel, ni mercantile et ni commercial. Nous autres êtres humains avons reçu le libre arbitre de choisir et ingérer les aliments et boissons que nous considérons pertinents pour notre santé et bien-être.

L'objectif de ce programme de diffusion de la Méthode Marine est d'atteindre les pays les plus pauvres de la planète pour sauver, au moyen d'ingestion d'un demi-litre d'eau de mer par jour, 10 millions d'enfants qui meurent chaque année de dénutrition dans le monde.


Nous offrons cette information aux médias éthiques afin d'éclaircir les doutes qui auraient pu naître par méconnaissance, et par respect à nos patients qui ont placé leur confiance dans cette méthode naturelle et inoffensive de récupérer la santé. Les résultats sont bien visibles et nous ne pouvons pas les ignorer.

Nous sommes disponibles afin de présenter ces informations scientifiques et expériences médicales à qui voudra de bonne foi essayer cette méthode marine ou la diffuser auprès de ses patients.

htpp://dispensariosyoasismarinos.blogspot.com


Liste des médecins qui consomment et/ou prescrivent l'eau de mer : (non traduit, ce sont les noms des personnes et leur fonction) :


1. Dr. José Enrique Solis. Pediatra. Hospital Manuel de Jesús Rivera (La Mascota).

2. Dra. Marlene Bordas. Médica General. Directora de la Clínica docente de Ciudad Sandino.

3. Dra. María del Socorro Zepeda. Médica General. Maestría en Salud Pública. CEPS.

4. Dr. Luis Mairena. Médico especialista en Ortopedia y Traumatología. Policlínica Morazán.

5. Dr. José Francisco Somarriba. Médico especialista en Traumatología y Ortopedia. Hospital Roberto Calderón.

6. Dra. Liset Castillo. Médica Dermatóloga Pediátrica. Hospital Vivian Pellas.
7. Dra. Norma Estela Francis. Clínica de la Iglesia Nuestra Señora de los Ángeles. Tiene un dispensario marino.
8. Dra. Evelyn Kraudy. Psiquiatra. Fue Directora del Hospital Psiquiátrico. Tiene un dispensario marino.

9. Dr. Liberato Villavicencio. Médico Internista. Clínica de la Parroquia San Luis Gonzaga. Tiene un dispensario marino.

10. Dr. Juan Manuel López. Médico General. Médico de la Prepa/Internado de la UNAN-León. Difundió el método marino desde el Departamento de Bienestar Estudiantil de la UNAN-León.

11. Dr. Armando Matute. Médico Internista. Infectólogo. Decano de la Facultad de Ciencias Médicas de la UNAN-León.

12. Dra. Leonor Gallardo. Médica Salubrista. Docente de la Facultad de Ciencias Médicas de la UNAN-Managua. Fue Directora de la Cruz Roja.

13. Dra. Rosa Quintanilla. Pediatra. Médica docente de la Facultad de Ciencias Médicas de la UNAN- Managua.

14. Dr. Moisés Elías Bautista Lara. Médico General. Docente de la Facultad de Ciencias Médicas de la UNAN-Managua.

15. Dra. Violeta de Trinidad. Médica con especialidad en Otorrinolaringología. Hospital Regional de Jinotepe.

16. Dra. Alexandra Pereira. Médica Salubrista.

17. Dr. Eduardo de Trinidad Barboza. Médico Salubrista.

18. Dra. Mary Luz Dussan Márquez. Médica Salubrista.

19. Dra. Elba Luisa Largaespada. Médica General.

20. Dra. Olga María Chávez. Médica salubrista. Directora del Hospital Roberto Calderón.

21. Dr. Javier Lacayo Bossa. Médico General. Médico Homeópata. Director de la Clínica de Extensión Académica Monte Tabor. UPOLI.

22. Dr. Manuel Collado. Médico General Naturoortopático. Director de la Clínica Médica de la UPONIC. Tiene un dispensario marino.

23. Dra. Brenda Barahona. Médica General Naturoortopática. Decana de la Facultad de Medicina de la UPONIC (1). Tiene un dispensario marino.

24. Dr. Edwin Urbina. Médico General Naturoortopático. Decano de la Facultad de Medicina de la UPONIC (2).

25. Dra. Maura Flores. Médica General Naturoortopática. Presidenta de la Asociación de Médicos Naturoortopáticos de Nicaragua. Tiene un dispensario marino.

26. Dr. Santos Wilfredo López. Médico General Naturoortopático. Asesor de la Comisión de Salud de la Asamblea Nacional, para la elaboración de la ley de Medicina Natural y Terapias Alternativas.

27. Dra. Rubí María Selva. Médica General Naturoortopática. Es médica de “Naturaleza”. Tiene un dispensario marino.

28. Dra. Luisa Rojas. Médica General Naturoortopática. Tiene un dispensario marino.

29. Dr. Daniel Mayorga. Médico General Naturoortopático. Tiene un dispensario marino.

30. Dr. Roberto Ferguson. Médico General Naturoortopático. Tiene un dispensario marino.

31. Dra. Kenia Sánchez Gómez. Médica General Naturoortopática. Tiene un dispensario marino.

32. Dr. Mariano Mendoza. Médico General Naturoortopático.

33. Dr. Roberto Guerrero. Médico General Naturoortopático. Biólogo.

34. Dra. Silvia Juliana Robleto Hernández. Médica General Naturoortopática. Bióloga. Tiene un dispensario marino.

35. Dra. Victoria Bermúdez. Médica General Naturoortopática.

36. Dra. Digna Rosa Paredes Lara. Médica General Naturoortopática. SILAIS–Managua.

37. Dr. Sergio Zamora. Médico General Naturoortopático. Tiene un dispensario marino.

38. Dra. Ivania Espinoza Solórzano Balladares. Médica General Naturoortopática. Odontóloga. Departamento de Higiene y Seguridad de la Alcaldía de Managua.

39. Dr. Rafael Mairena. Médico General Naturoortopático.

40. Dr. Rodolfo Urbina. Naturista. Nutricionista. Tiene un dispensario marino.

41. Dra. Verónica Barreto. Naturista. Nutricionista.

42. Lcdo. Eduardo José Jirón. Nutricionista.

43. Dr. Juan Diego Pérez. Homeópata.

44. Dra. Ivania Espinoza Solórzano Balladares. Médica General Naturoortopática. Odontóloga. Departamento de Higiene y Seguridad de la Alcaldía de Managua.

45. Dr. Rafael Mairena. Médico General Naturoortopático.

46. Dr. Rodolfo Urbina. Naturista. Nutricionista. Tiene un dispensario marino.

47. Dra. Verónica Barreto. Naturista. Nutricionista.

48. Lcdo. Eduardo José Jirón. Nutricionista.

49. Dr. Juan Diego Pérez. Homeópata.

50. Dra. María Teresa Ilari. Médica Internista. Homeópata. Gerontóloga. Directora de la

Clínica Santo Domingo de los PP Jesuitas. Tiene 2 dispensarios marinos.

Y muchos otros que no han podido ser contactados al momento de escribir este artículo.

Dra. María Teresa Ilari

teresa.ilari@gmail.com

Telef.: (505) 22222598, 88446688 ».

 

Traduit par Sébastien Vautelin du site http://www.sante-plasmamarin.com


eau de quinton, les avis sont positifs

Les personnes qui utilisent le plasma marin - ou eau de Quinton - à des fins curatives ou préventives sont de plus en plus nombreuses. Jamais notre héros national n'aurait imaginé combien sa trouvaille géniale allait prendre une telle importance. Déjà utilisée dans de nombreux pays dont la France, la Suisse, les États-Unis, le Canada, et beaucoup d'autres, c'est surtout en Espagne, là où se sont installés les laboratoires Quinton et en Amérique du Sud que l'on utilise aujourd'hui le plus l'eau de Quinton.

Comment cela se fait-il ?

Eh bien, il y a eu un travail fait par des ONG, des journalistes, scientifiques et médecins dans le monde hispanophone pour rendre l'eau de mer démocratique, qui reste en France encore utilisée en forme d'ampoule ou de boîte avec écrit "laboratoire" dessus.

En Colombie, le journaliste scientifique Laureano Dominguez est une des figures les plus connues soutenant les projets autour du plasma marin. Il y a plusieurs villes, dont La Ceja, qui bénéficient en Colombie de distribution gratuite d'eau de mer isotonique, par le biais de bonbonnes de 20 litres disposées aux endroits stratégiques de chaque ville, afin d'offrir à la population un outil de prévention gratuit.

L'eau est puisée au Nord du pays et est acheminée par camion, aux frais de l'ONG Aqua Maris, association espagnole.

Les habitants sont heureux de cette expérience, comme en témoigne le reportage (en espagnol) fait par la télévision locale. Tout le monde est heureux et chacun pour ses raisons. Qui de cesser les maux d'estomac, qui de se sentir moins fatigué, il y a aussi cet homme qui se réjouit de pouvoir boire du rhum sans avoir mal à la tête le lendemain grâce au plasma marin isotonique !
Utilisé pour la globalité des fonctions vitales, l'eau de Quinton (voir l'histoire résumée de celui-ci) ou eau de mer isotonique, ou encore plasma marin, apporte de tels bénéfices que certains gouvernements le reconnaissent officiellement comme faisant partie des éléments importants pour la santé publique de leur pays. C'est le cas notamment au Nicaragua qui, sous l'impulsion d'acteurs de la santé souhaitant renforcer les choix de remèdes naturels pour leur population, ont obtenus qu'une loi prenne en compte les traitements naturels, et notamment l'eau de mer (ley N⁰.774 " Ley de medicina natural, terapias compementarias y productos naturales en Nicaragua, approuvée le 29 avril 2014.

À quand de telles initiatives sur notre territoire européen, à l'heure où les lobbies pharmaceutiques n'ont jamais été aussi forts et où les gens consomment énormément de médicaments qui en sont issus ?

Peut-être lorsque l'unique personne vers qui un malade se tourne dans la détresse ne sera plus seulement le personnage en blouse blanche aux tarifs exorbitants et au discours scientiste obscure, mais aussi le praticien qui a vu qu'il y a d'autres voies possibles et qui peut apporter un réel mieux être dans des situations difficiles. Mais pour cela il va falloir que l'information circule, alors n'hésitez pas à la faire tourner : l'eau de mer prévient les maladies, soigne et n'a aucun effets secondaires.


Sébastien Vautelin, Santé & Plasma Marin.


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Eczéma, psoriasis, votre peau aime le plasma marin !

Disparaître comme il est arrivé, voici ce que le plasma marin peut vous apporter pour votre problème de peau. Si les origines de l'eczéma sont dites venir du stress, d'allergies, déficience immunitaire ou d'être génétiques, pour le psoriasis on a encore moins d'hypothèses et il faut bien admettre que la science est bien démunie à l'heure de trouver les raisons scientifiques de ces deux maladies.
Quinton a soigné des psoriasis en injectant directement du plasma marin isotonique en sous-cutané. Mais nous avons connu des personnes qui se sont traitées en buvant tout simplement du plasma marin isotonique tous les jours pendant deux mois. L'eczéma et le psoriasis sont d'ailleurs des affections pour lesquelles le l'eau de mer donne des résultats tout à fait intéressants. De nombreux témoignages en parle, notamment celui-ci.

Il est d'autant plus eficace, en plus de le boire, d'aller à la mer et de prendre le soleil pour soulager tous ces problèmes de peau.

En attendant vous pouvez boire du plasma marin en isotonique, à raison de 30 ml par jour. En achetant 1 litre de plasma hypertonique, vous faites 4 litres d'isotonique, de quoi vous faire une cure d'un mois et voir votre eczéma ou psoriasis se résorber, voire disparaître ! Commandez ici.

 

Plus tôt vous commencerez une cure, plus tôt il sera parti !


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LES 4 piliers de la santé (sans pharmacien à enrichir)

les 4 piliers de la santé - sans pharmacien à enrichir

Pour être en bonne santé il est indispensable de travailler sur 4 plans essentiels de notre mode de vie. Ce sont : la nutrition, l'activité physique, le mental et le soleil. Chacun de ses 4 domaines ne suffit pas en soi à apporter LA santé (la « grande santé», comme disait Nietzsche), mais c'est leur coordination à travers notre mode de vie qui va déterminer notre vitalité. Untel, qui a la "pilulite aiguë" va se gaver de tous les compléments minéraux, vitaminiques, etc., mais ne va pas avoir une vie affective épanouie, vivre dans une cave sombre et humide, ou tel autre qui fait beaucoup de sport mais mange très mal, etc. Ce sont des exemples typiques de personnes que l'on connaît tous et qui se sont focalisées sur un domaine particulier de leur vie afin de tenter de gagner en mieux-être, améliorer leur santé ou leur forme.

Mais il faut bien garder à l'esprit que la santé n'est pas qu'un affaire de molécules dans l'organisme, d'exercice, de soleil ou d'alimentation pris séparément. La santé dépend de ces 4 piliers pris en compte conjointement.

Le mental est primordial : prenons l'exemple de l'influence de celui-ci sur le corps. Imaginez deux personnes qui doivent manger chacune une demi douzaine d’huîtres. L'une adore ça et l'autre les déteste. Eh bien le même aliment va produire chez la première personne un plaisir  gustatif complet et chez l'autre va provoquer des nausées. C'est le même produit dans les deux cas, des huîtres. Cela montre dans un exemple très simple en quoi la manière dont nous recevons ou exprimons les choses influence comment l'on va se sentir, et plus largement comment notre attitude face au monde joue un rôle essentiel. Au delà de cela, une personne stressée va avoir une tendance à acidifier son organisme, ce qui est favorable aux maladies.


Les bienfaits de l'exercice physique sont irremplaçables : sans rien faire notre organisme s'encrasse, se ramollit et surtout, ne s'oxygène pas suffisamment et les fluides corporels ne circulent pas assez et s'installe la fatigue, par manque de travail des muscles et du corps. Voir cet article du Dr Flurin pour en apprendre plus.


L'alimentation est à son tour un facteur plus que déterminant dans notre état de santé : notre terrain ne doit pas être acide afin de se préserver des maladies et ce sont les aliments (en grande partie mais pas uniquement) qui vont avoir tendance à acidifier l'organisme, ou le contraire, s'ils sont de nature à alcaliniser l'organisme (légumes, fruits principalement). Il faut également nourrir les cellules avec des minéraux et oligo-éléments, vitamines, etc, de qualité afin qu'ils soient facilement assimilable et puisse remplir leur fonction. L'usage du plasma marin permet un nourriture idéale pour les cellules et favorise un milieu vital alcalin.


Le soleil aide à prévenir des maladies, et pas seulement de peau. On le constate avec la recherche actuelle (cf. article ici) mais la sagesse populaire nous en parle depuis longtemps : « oh !, t'es bien pâlot mon coco, faudrait qu'tu prennes un peu le soleil, ça te ferait du bien ». Mais surtout, le soleil est à la base de la génération de la vie : les différents règnes du vivant ne seraient rien sans le soleil.

 

Ces 4 piliers soutiennent ce que nous avons de moins cher et de plus précieux à la fois : notre santé.

De moins cher car : le soleil est gratuit, l'exercice physique est gratuit, se construire un mental positif ne coûte pas forcément cher et se nourrir correctement ne revient pas cher non plus, à condition de pouvoir se fournir de bons aliments (pas ceux de la grande distribution, même bio, désolé !).

De plus précieux car sans la santé, c'est l'horreur, il n'est pas nécessaire d'en dire plus.

 

Nous développerons cette philosophie basée sur ces 4 piliers qui est au centre du site www.sante-plasmamarin.com tout au long des articles et posts que nous ferons. Au plaisir de vous retrouver !

 

Sébastien Vautelin de Santé & Plasma Marin

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otto warbürg, le cancer et la science qui ne veut pas voir les faits

Les exemples sont de plus en plus légion : on redécouvre des recherches passées dont les fondements scientifiques sont toujours justes et qui aurait dû permettre de soigner des personnes qui souffraient.

C'est le cas d'Otto Warbürg qui obtiendra le prix Nobel de médecine en 1931 pour ses travaux publiés en 1923 sur les tumeurs cancéreuses. Il parviendra a montrer que le cancer - et les maladies en général - se développe avant tout sur un terrain acide et où les cellules sont peu oxygénées. Cet article du très respecté magazine La Recherche nous en parle. Mais, au demeurant, même si l'article note que « tombée en désuétude, la théorie « métabolique » de Warbürg a connu un regain d'intérêt en 1995 », il n'empêche que ce que de nombreux praticiens font et disent, ne parvient pas à franchir le mur de dollars des entreprises pharmaceutiques. Les remèdes ou traitements alternatifs que l'on connait aujourd'hui et qui soignent des gens ne sont pas choisis par les laboratoires pour mettre au point des solutions efficace contre des maladies qui tuent aujourd'hui près de 15.000.000 de personnes et dont les chiffres augmentent chaque année.

 

Pourquoi ?

 

  • Est-ce par ce que les scientifiques ne croient pas au prétendus résultats ?
  • Est-ce par ce qu'ils travaillent pour publier toujours et encore afin d'assurer leur carrière où la compétition est toujours grandissante, en choisissant des sujets qui ont la cote dans les revues prestigieuses mais n'abordent pas les sujets qui pourraient les faire passer pour des illuminés ?

  • Est-ce par-ce que les moyens dont ils disposent sont orientés vers des recherches coûteuses et dont les résultats visent à vendre des produits ? (il faut bien rentabiliser l'investissement, non ?)

  • Est-ce parce que les scientifiques ont observé, écouté, analysé les cas de personnes guéries par des méthodes non issues de grands groupes pharmaceutiques et ont conclu à des mensonges ? 

 

Il y a sûrement de nombreuses raisons et il ne nous appartient pas d'aller voir ce qui se passe dans la tête de ces personnes, il y a des choses plus importantes à faire : propager les informations qui donnent de l'espoir aux personnes souffrantes et laisser chacun s'informer avec le plus d'éléments possibles. Otto Warbürg a établi ces lois et en a été récompensé par le prix Nobel de médecine. De nombreux médecins et praticiens de santé en ont pris acte de leur côté, tels les nombreuses personnes utilisant l'eau de mer à la fois en prévention ou en cure, accompagnées de thérapies telles que la Nouvelle Médecine Germanique qui sont systématiquement attaquées pour être des sectes ou des mouvements bizarres. Cela étant, personne n'a l'idée d'attaquer le corps médical en blouse blanche et salaire conséquent lorsqu'il s'agit de donner les chiffres des guérisons de cancer avec la chimio ? En tout cas, comme nous le montrent des études faites auprès de médecins, 3 sur 4 refuseraient de se faire soigner par chimiothérapie.

Il faudrait donc que les gens concernés, les familles des personnes malades, mais surtout le grand public se soucient d'aller chercher de l'info et de confronter les résultats. Il faudrait tout de même questionner ce manque de résultats de la part des oncologues. Personne ne leur demande de comptes ? La société dépense des milliards et ne regarde pas si cela est utile ou fonctionne ?


La prévention contre le cancer et toutes les maladies est à prendre en compte dès aujourd'hui. Et il ne faut pas compter sur l'État ou les spécialistes du monde de l'industrie pharmaceutique pour nous donner les pistes, ils ne parviennent pas à soigner les gens. Il faut regarder là où les résultats sont bons. Il n'y a pas besoin de justifications scientifiques pour que vous ayez un geste utile à votre santé : les scientifiques eux-mêmes bardés de diplômes et de solutions en forme de pilules et de produits issus de synthèses extrêmement chères, n'en veulent pas, malgré tout le charabia qui est employé pour les vendre et vous dire que c'est ce qu'il faut faire. Il est plus intéressant de regarder là où des gens soignent et ont des résultats bons pour votre santé. L'exemple que nous connaissons le mieux, le plasma marin de Quinton, l'eau de mer, est parlant : des savants qui ont guéri de nombreuses personnes, ouvert des établissements public de soins, montré des résultats spectaculaires sans aucun effets secondaires, ont permis de mettre en avant un produit naturel et efficace dont on ne connaît pas le fonctionnement complet. On sait qu'il nourrit les cellules de la meilleure manière car la composition du plasma marin est identique au milieu vital comme l'a dit René Quinton. On sait que cela permet de faire fonctionner pleinement les cellules et d'améliorer considérablement l'homéostasie - ou stabilité de l'organisme - et donc à éliminer les toxiques et gérer les situations de stress pour le corps. Une bonne santé ne permet pas de laisser les maladies se développer.

Comme le dit le Dr Jacques Lacaze : « la vraie solution est la prévention ». Avec Otto Warbürg on sait qu'une cellule bien oxygénée dans un terrain suffisamment alcalin est propice à un état de santé optimal.

Il faut donc en tirer les conséquences et agir dans ce sens. Ou bien continuer de souffrir des chimiothérapies inutiles.

Sport pour oxygéner les cellules.

Nourriture alcalinisante et plasma marin pour lutter contre l'acidité du terrain

Repos et relaxation pour aider le mental à se concentrer

Socialisation enrichissante pour avoir un mental non anxiogène et libérer les tensions.

4 piliers simples, peu chers, agréables qui feront de votre vie un passage sans (ou presque) encombres sur cette planète.

 

Sébastien Vautelin, Santé & Plasma Marin.

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quelle est la différence entre l'eau de mer et le plasma marin ?

Nombreux sont ceux qui me posent la question de savoir quelle est la différence entre le plasma marin et l'eau de mer, et pourquoi deux termes différents ?

Techniquement parlant, le plasma marin est de l'eau de mer filtrée et mélangée à de l'eau douce peu minéralisée afin d'obtenir une salinité égale (isotonique) aux plasma corporels.

Au point de vue biologique, c'est un plasma similaire aux plasmas vitaux de l'organisme de part sa composition et où la vie évolue parfaitement.

Comme c'est expliqué dans cet article, la concentration de l'eau de mer est 4 fois supérieure à celle du sang et des plasmas vitaux où baignent nos cellules (36 gr/L contre 9 gr/L). En mélangeant l'eau de mer qui a été auparavant filtrée à de l'eau douce dans les proportions de 1 Vol. d'eau de mer pour 3 Vol. d'eau douce, on obtient 4 Vol. de « plasma marin » isotonique.

 

L'eau de mer à été utilisée par René Quinton sous forme injectable et isotonique. Cela signifie qu'il injectait directement l'eau de mer isotonique - ou plasma marin - soit en sous-cutanée, soit en intraveineuse ou intramusculaire.  C'est lui-même qui a donné le nom de « plasma marin » à ce mélange d'eau de mer et d'eau douce, car il montra que le plasma vital où baignent les cellules de notre corps est analogue dans sa composition biochimique au mélange ainsi obtenu. Il le nomma donc plasma car il pu montrer également que l'on peut substituer l'un à l'autre et maintenir vivantes et saines toutes les cellules de l'organisme qui y évoluent, et donc remplir des manques que subit notre organisme par du plasma marin.

 

 

Note : c'est bien évidemment grâce à cette incroyable similarité entre la composition des deux plasmas que l'on peut prévenir et guérir tant de maladies, celui-ci étant dans de nombreux cas un apport vivifiant de part sa composition parfaite en minéraux, oligo-éléments et probiotiques qui sont ceux du milieu vital de notre organisme.

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de la supériorité du plasma marin sur les remèdes proposés par les laboratoires. Cas d'école avec l'ostéoporose.

plasma marin, eau de mer, ostéoporose

Nous allons prendre l'exemple de l'ostéoporose fourni par le Dr Marc François Payá1, qui nous montre à partir du traitement de l'ostéoporose comment l'eau de mer apporte une réponse simple et efficace à un problème que les laboratoires peinent à résoudre.

La manière dont la médecine actuelle comprend la biologie et les interactions dans les organismes vivants a une vision parcellaire. Elle isole chaque symptôme en cherchant une molécule qui va pouvoir avoir une action ciblée sur ce que le symptôme laisse à entendre de ce qui se trame dans le corps. Elle ne prend pas en compte – car c'est en fait, comme nous allons le voir, quasiment impossible – l'ensemble des interactions entre tous les minéraux, vitamines, oligo-éléments, qui participent du bon fonctionnement de l'organisme. L'exemple donné par le Dr Payá sur l'ostéoporose, lors d'une visio-conférence, reflète la manière dont nous cherchons à résoudre les problèmes de santé : en cherchant à tout comprendre dans le moindre détail on oublie finalement de prendre en compte ce qui devrait pourtant être l'essentiel : les résultats obtenus à partir d'une approche globale.

Je cite ici le Pr. Payá : « Le principal problème dans l'ostéoporose est de parvenir à fixer l'hydroxypatite de calcium sur la structure organique de l'os. Celle-ci est préférentiellement détruite par les ostéoclastes, et la plupart des traitements contre l'ostéoporose consistent à tenter de freiner cette destruction (œstrogènes, calcitonite), mais pas à favoriser la construction de cette trame organique de l'os afin de pouvoir fixer efficacement l'hydroxypatite de calcium.

Or, et c'est là que nous rentrons dans la complexité des échanges biomoléculaires du vivant, il faut de nombreux éléments agissant en synergie afin de construire cette trame.

Une première chose qu'il faut est du zinc avec de la vitamine C pour former du collagène. Ensuite il faut du cuivre, qui est un antagoniste du zinc et on a donc une neutralisation de ces deux ions. Mais il faut aussi de la silice organique, un troisième élément. Ensuite, pour former les protéoglycanes, qui sont des espèces de feuilles de fougères qui vont se fixer sur la trame de collagène, il faut du manganèse. De plus, on a découvert récemment, grâce à des squelettes de gladiateurs trouvés dans le cimetière d'Éphèse, que le strontium joue un rôle favorisant tout ça.

Ça, c'est ce qui se passe au niveau de l'os, si les éléments nécessaires ont pu se frayer un chemin jusque là.

En amont, il faut auparavant que le calcium soit absorbé au niveau de l'estomac, ce qui nécessite de la vitamine D, qui nécessite des ions sodium. Puis, la vitamine D apprécie le magnésium, mais celui-ci est sensé réduire la capacité du calcium à se fixer ».

Bref, on est dans une situation où une grande multiplicité de molécules agissent ensemble et à plusieurs niveaux. Le problème est que plus on cherche à isoler les facteurs qui vont favoriser la fixation du calcium pour réduire les problèmes d'ostéoporose, plus on est face à un puzzle font personne aujourd'hui n'a trouvé toutes les pièces et où les placer pour obtenir un traitement efficace. La science avance, certes, mais ce n'est pas chose facile. Sans compter les effets secondaires possibles et le coût que cela représente. (vois ici des exemples de traitements pharmacologiques)

Or, sans que l'on comprenne totalement comment fonctionne le plasma marin, on sait désormais que le fait que tous ces minéraux et oligo-éléments et autres nutriments essentiels à la vie soient présents dans l'eau de mer – milieu organique – ils interagissent en synergie et donnent des résultats spectaculaires, comme l'ont simplement démontré rené Quinton et ses successeurs à travers la pratique concrète avec des malades. C'est en cela que le plasma marin peut être considéré comme supérieur : il ne produit aucun effet secondaire existant et agit en étant en adéquation avec le milieu vital dans lequel baignent nos cellules, celui-ci étant composé des mêmes éléments que le milieu vital, dans les mêmes proportions et sous forme organique, donc prêt à l'emploi directement par nos cellules !

Conclusion : Tous les jours de nouvelles réponses miracles sont présentées au public et l'on apprend peu de temps ensuite les effets secondaires tout autant nocifs, ou bien qu'il y a de nouvelles molécules arrivant, sûrement meilleures. Ne pouvant savoir précisément comment l'organisme utilise et interagit avec toutes les molécules, minéraux, vitamine, etc., cette manière de faire de la médecine ne fait qu'alimenter cette fructueuse « valse des médicaments » produite par les laboratoires pharmaceutiques.

Aujourd'hui les praticiens qui ont décidé de prescrire du plasma marin dans de nombreux cas, et notamment l'ostéoporose, arrivent à améliorer sensiblement l'état de santé de leurs patients. C'est le cas en Colombie où l'État prend en charge les soins à base d'eau de mer ou du dr. Pros à Barcelone qui reçoit toujours plus de patients satisfaits par ses traitements – entre autres – à l'eau de mer.

De plus en plus de personnes comprennent, comme cela est le cas avec l'agriculture, que nos méthodes modernes de traitement des corps ont montré leurs limites. Quand un produit naturel comme l'eau de mer (ou plasma marin, après René Quinton) permet tant de bienfaits sans aucun effet secondaire, le changement ne peut que avoir lieu, les gens étant chaque jour plus conscient des résultats excellents de certaines méthodes naturelles.

 

Sébastien, Santé & Plasma Marin,

1 (Professeur Dr. Marc François Payá est un docteur en médecine à l'université de Montpellier. Il est membre de académie de New York, membre de l'association orthopédique américaine et membre de l'association Francesca da Dor, et directeur médical de ses laboratoires)


Difference entre plasma isotonique et hypertonique

Le plasma marin se rencontre sous ces deux formes : isotoniques et hypertoniques. Ces deux termes se réfèrent à la concentration en sels minéraux dans les plasmas du milieu vital de notre organisme et celle de l'eau de mer. Iso, qui veut dire « égal » en grec et hyper,  qui signifie « en excès », sont deux préfixes signifiant que la concentration est soit égale, soit en excès par rapport à la salinité du sang et de nos plasmas vitaux. En chiffres, cela nous fait une concentration en sels minéraux de 36 grammes/litre pour l'eau de mer et 9 grammes/litre pour les plasmas du milieu vital de notre organisme. Le plasma isotonique est donc un plasma marin qui est dilué à l'eau douce (peu minéralisée) pour obtenir une salinité proche de celle des plasmas de notre corps, c'est-à-dire environ 9 grammes de sels minéraux par litre. On appelle donc plasma marin hypertonique celui qui n'est pas dilué et qui a donc une concentration trop grande par rapport à nos plasmas vitaux (4 fois plus saline) : c'est la concentration de l'eau de mer telle qu'on la trouve en moyenne dans les océans.

le plasma marin améliore les performances sportives

Le plasma marin permet de maintenir un effort sportif soutenu et à un haut rendement en fonction de la capacité d'entraînement de chacun.

En suivant les travaux du Dr Manuel Antonio Ballester Herrera sur les bienfaits du plasma marin dans les pratiques sportives, nous allons voir comment les expériences menées sur des sportifs en Espagne ont prouvé les bénéfices du plasma marin dans leur pratique.

L'eau de mer possède une composition et une information correspondant à notre milieu organique (voir ici).

Pour montrer cette similarité entre le plasma hypertonique et les plasmas de notre milieu vital, l'Université d'Alicante a fait des analyses d'eau de mer et montre qu'elle contient 78 éléments essentiels à notre organisme. Mais surtout, ces éléments sont hautement biodisponibles et dans les proportions exactes de notre milieu vital, là où baignent nos cellules. Les minéraux et oligo-éléments ainsi apportés par le plasma marin co-agissent afin de rendre possible l'assimilation des vitamines et des minéraux entre-eux. C'est le seul produit - naturel ou produit en laboratoire - qui à l'heure actuelle possède ce pouvoir de synergie.


Les études ont été faites sur des sportifs de haut niveau par l'Université Catholique de Murcia, département de physiologie de l'effort. Ils ont prix, dans une première expérience, des sportifs semi-pro de football et ont réalisé des tests d'efforts d'une heure sur tapis roulant.

Il a été constaté que ceux qui avait bus du plasma marin hypertonique (20 ml avant l'effort, puis 20 ml après) avait une production de glucose qui augmentait avec l'effort. Le travail synergique des minéraux du plasma marin permet de faciliter la mise à disposition par le corps lui-même du carburant de l'effort : le glucose. Plus il y a de demande, plus le corps est capable d'en fournir. Cela signifie qu'en buvant du plasma marin, vous pouvez utiliser 100% de votre rendement sans provoquer d'usure cellulaire. Le résultat est qu'après le match ou l'entraînement les sportifs ne sont pas fatigués et peuvent plus facilement recommencer la fois d'après, en étant toujours à 100%. Ils ont vérifié cette hypothèse en mesurant sur deux groupes de footballeurs le CPK (créatine polyphosphokinase - mesure l'usure cellulaire indépendamment des causes), en mesurant une semaine sans plasma marin et une semaine avec. Résultat : 30% de CPK en moins.

Grâce au plasma marin, les sportifs peuvent ainsi bénéficier de leurs performances à 100% pendant toute la saison.

Une autre expérience de 217 jours a été réalisée sur la fréquence cardiaque chez des joueurs d'une équipe pro nationale. Leur rythme a baissé notablement dès le début de la prise de plasma marin.

 

De nombreux sportifs de haut niveau sont donc attirés par ce produit naturel et sans aucun effet secondaire, et notamment chez les vétérans.  Chema Martinez (champion d'Europe 10.000 m) Pedro et Juan-Carlos Esteso (1.500 m), Alexis Marichez (endurance moto), Sébastien Chavanel (cyclisme), Cristel Robin (triathlon) sont des convaincus du plasma marin.

 

Mais souvenez-vous : le plasma marin n'augmente pas le potentiel de rendement du sportif. Ça, c'est le travail de l'entraînement. Ce qu'il permet c'est à celui ou celle qui l'utilise de fournir longuement des efforts en restant à 100% de son potentiel. Pendant l'effort et tout au long de la saison.

 

Pour se procurer du plasma marin, c'est ici.

Sources : https://www.youtube.com/watch?v=76B4jWgfs2o (en espagnol)

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Réduire les effets du stress avec le plasma marin

Le stress est responsable de beaucoup de problèmes de santé, en activant les glandes surrénales qui diffusent de l'adrénaline et du cortisol (entre autres hormones), ce qui va contribuer à appeler l'organisme à répondre (fuir ou lutter contre la cause du stress). De surcroît, nos conditions de vie ou les situations qui génèrent le stress ne sont pas tout le temps évidentes à régler et la réponse peut ne pas avoir lieu au moment de l'apparition du stress. Les conséquences sont que l'organisme va devoir s'habituer à des doses de cortisol trop importantes et provoquera une acidification du terrain.


Comme l'a démontré le prix Nobel de médecine Otto Warburg, en 1931, dans un ouvrage Métabolisme cellulaire et métabolisme des tumeurs (travaux du Kaiser Wilhem Institut für biologie Berlin Dohlem, 1928), le cancer se développe sur un terrain acide et pauvre en oxygène. Un terrain au pH acide favorise l'apparition de toutes les maladies, car la lutte contre l'acidité pousse l'organisme à puiser dans ses réserves de minéraux (présents dans les dents, os, tissus) afin de réduire les quantités d'acides. Le déséquilibre acido-basique, dans le fonctionnement des différents systèmes organiques de l’être humain (sang, lymphe, humeur, bouche, estomac, vésicule, intestin, peau, poumons, reins) entraîne la surcharge du terrain organique en toxines diverses. Les déchets qui s’accumulent sont soit des substances exogènes qui ont trouvé le terrain favorable à leur prolifération (microbes, parasites), soit des toxines alimentaires résiduelles qui n’ont pu être éliminées (acide urique, urée, cholestérol, plaque d’athérome). La cellule, après de nombreuses attaques radicalaires sur sa membrane, (attaque des phospholipides membranaires par les radicaux libres) perd ses capacités à échanger avec le milieu extérieur et c'est en fait la respiration cellulaire qui est compromise. Les déchets, en particulier l'acide lactique produit par le métabolisme, ne s'éliminent plus. La cellule devient acide.


Or, comme le dit Otto Warburg : « La cellule humaine normale est composée de beaucoup d’oxygène moléculaire et a un pH légèrement alcalin. La cellule cancéreuse à un pH acide et manque d’oxygène. Les cellules cancéreuses ne peuvent pas survivre dans un environnement alcalin et riche en oxygène. À un pH légèrement au-dessus de 7.4 les cellules cancéreuses deviennent dormantes, et à un pH de 8.5 les cellules cancéreuses mourront tandis que les cellules saines vivront.
Répétons-le : plus le pH est haut, plus le sang est alcalin et riche en oxygène. Le Cancer et toutes les maladies détestent l’alcalinité et l’oxygène. ».

Ce que permet le plasma marin, avec une activité physique suffisante, est d'apporter à l'organisme les minéraux manquants dont il a besoin pour réduire l'acidité, nourrir ainsi chaque cellule qui peut reprendre son travail de respiration et d'élimination des déchets et toxines, et favoriser le retour à un pH plus alcalin, à un terrain propice à la santé, non aux maladies. Joint à une alimentation riche en légumes et fruits et de l'exercice régulier afin de favoriser la circulation des fluides, l'apport des nutriments que contient l'eau de mer et son pH alcalin en font l'atout naturel le plus simple qui soit. C'est sans doute parce que, comme l'a démontré René Quinton, qui a nommé sa solution d'eau de mer ramenée à l'isotonie « plasma marin », notre milieu vital est analogue en composition à l'eau de mer, dans les mêmes proportions ("l'organisme est un véritable aquarium marin vivant" disait-il), mais ramené au taux de salinité de nos plasma (9 grammes de sels minéraux par litre).

En agissant de manière synergique, les minéraux et oligo-éléments du plasma marin rechargent les cellules, et redonnent à l'organisme le pouvoir d'éliminer efficacement l'acidité, et renforce ainsi son immunité. Les effets du stress sont diminués et l'organisme renforcé peut d'autant mieux produire l'énergie nécessaire à lutter contre ce stress et résoudre le problème qui en est l'origine.

Le plasma marin agit de manière globale et son utilisation est sans risque. De plus les nombreux nutriments qu'il contient sont extrêmement biodisponibles car ils sont sous forme organique. Ce qui fait du plasma marin le candidat idéal pour revitaliser l'organisme, en étant complet, naturel, efficace et présent en grandes quantités !


Mais il n'évacue pas le stress à lui seul : il en diminue les effets et renforce la réaction positive de l'organisme, l'aidant ainsi à lutter efficacement contre celui-ci.

Les origines du stress sont souvent dues à des situations sociales ou psychologiques qu'il faut avant tout résoudre pour ne pas s'y laisser piéger. Un ouvrage très intéressant de Richard Wilkinson donne un point de vue tout à fait éclairant à ce sujet : L'inégalité nuit gravement à la santé.



les dispensaires marins

Couverture du livre « Le dispensaire marin » du docteur Jarricot
Le dispensaire marin - Docteur Jarricot - Masson et Cie - Éditeurs - Paris

À la suite de ses découvertes et constatant que l'usage du plasma marin soigne beaucoup de personnes que l'on ne savait alors pas comment sauver, le succès retentissant de la méthode marine va déboucher sur l'ouverture de dispensaires marins. Le premier, se situant à Paris, ouvrira le 26 mars 1907, rue de l'Arrivée. Il s'en ouvrira par la suite dans plusieurs quartiers de Paris et d'autres villes de France et d'ailleurs : Lyon, Reims, Toulouse, Nancy, Dunkerque,  Rennes, Italie, Angleterre, Égypte, USA, Belgique... la presse internationale louera les bienfaits miraculeux pour l'époque de la méthode marine et certains dispensaires verront plus de 100.000 personnes soignées par année, notamment au dispensaire de Lyon où officiera le Dr Jarricot.
Un documentaire de Pierre Lance retrace cette fantastique épopée, dans la série « Savants maudits chercheurs exclus ».

plasma de quinton, plasma marin, quelle différence ?

René Quinton, dans L'eau de mer, milieu organique (*), décrit le milieu vital de la plupart des animaux comme étant constitué des plasmas, et notamment le plasma sanguin (pp. 90-91). La vie baigne dans ces liquides et c'est par l'analogie entre le milieu vital du corps et l'eau de mer que Quinton utilisera le terme de plasma marin pour marquer l'analogie entre les deux liquides et leur fonction biologique.

Par la suite, il sera donné à l'eau de mer isotonique - ou plasma marin - le terme de « plasma de Quinton » car le nom du savant sera devenu célèbre suite aux nombreuses personnes guéries grâce à l'usage de ce plasma marin, notamment au sein des dispensaires marins.


(*) René QUINTON, L'eau de mer, milieu organique, Ed. Masson et Cie, Libraires de l'Académie de Médecine, 120 Bld Saint-Germain, Paris, 1904. Disponible ici en pdf.

Pour commander de l'eau de Quinton usage alimentaire à prix accessible: semineraliser.com