de la supériorité du plasma marin sur les remèdes proposés par les laboratoires. Cas d'école avec l'ostéoporose.

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Nous allons prendre l'exemple de l'ostéoporose fourni par le Dr Marc François Payá1, qui nous montre à partir du traitement de l'ostéoporose comment l'eau de mer apporte une réponse simple et efficace à un problème que les laboratoires peinent à résoudre.

La manière dont la médecine actuelle comprend la biologie et les interactions dans les organismes vivants a une vision parcellaire. Elle isole chaque symptôme en cherchant une molécule qui va pouvoir avoir une action ciblée sur ce que le symptôme laisse à entendre de ce qui se trame dans le corps. Elle ne prend pas en compte – car c'est en fait, comme nous allons le voir, quasiment impossible – l'ensemble des interactions entre tous les minéraux, vitamines, oligo-éléments, qui participent du bon fonctionnement de l'organisme. L'exemple donné par le Dr Payá sur l'ostéoporose, lors d'une visio-conférence, reflète la manière dont nous cherchons à résoudre les problèmes de santé : en cherchant à tout comprendre dans le moindre détail on oublie finalement de prendre en compte ce qui devrait pourtant être l'essentiel : les résultats obtenus à partir d'une approche globale.

Je cite ici le Pr. Payá : « Le principal problème dans l'ostéoporose est de parvenir à fixer l'hydroxypatite de calcium sur la structure organique de l'os. Celle-ci est préférentiellement détruite par les ostéoclastes, et la plupart des traitements contre l'ostéoporose consistent à tenter de freiner cette destruction (œstrogènes, calcitonite), mais pas à favoriser la construction de cette trame organique de l'os afin de pouvoir fixer efficacement l'hydroxypatite de calcium.

Or, et c'est là que nous rentrons dans la complexité des échanges biomoléculaires du vivant, il faut de nombreux éléments agissant en synergie afin de construire cette trame.

Une première chose qu'il faut est du zinc avec de la vitamine C pour former du collagène. Ensuite il faut du cuivre, qui est un antagoniste du zinc et on a donc une neutralisation de ces deux ions. Mais il faut aussi de la silice organique, un troisième élément. Ensuite, pour former les protéoglycanes, qui sont des espèces de feuilles de fougères qui vont se fixer sur la trame de collagène, il faut du manganèse. De plus, on a découvert récemment, grâce à des squelettes de gladiateurs trouvés dans le cimetière d'Éphèse, que le strontium joue un rôle favorisant tout ça.

Ça, c'est ce qui se passe au niveau de l'os, si les éléments nécessaires ont pu se frayer un chemin jusque là.

En amont, il faut auparavant que le calcium soit absorbé au niveau de l'estomac, ce qui nécessite de la vitamine D, qui nécessite des ions sodium. Puis, la vitamine D apprécie le magnésium, mais celui-ci est sensé réduire la capacité du calcium à se fixer ».

Bref, on est dans une situation où une grande multiplicité de molécules agissent ensemble et à plusieurs niveaux. Le problème est que plus on cherche à isoler les facteurs qui vont favoriser la fixation du calcium pour réduire les problèmes d'ostéoporose, plus on est face à un puzzle font personne aujourd'hui n'a trouvé toutes les pièces et où les placer pour obtenir un traitement efficace. La science avance, certes, mais ce n'est pas chose facile. Sans compter les effets secondaires possibles et le coût que cela représente. (vois ici des exemples de traitements pharmacologiques)

Or, sans que l'on comprenne totalement comment fonctionne le plasma marin, on sait désormais que le fait que tous ces minéraux et oligo-éléments et autres nutriments essentiels à la vie soient présents dans l'eau de mer – milieu organique – ils interagissent en synergie et donnent des résultats spectaculaires, comme l'ont simplement démontré rené Quinton et ses successeurs à travers la pratique concrète avec des malades. C'est en cela que le plasma marin peut être considéré comme supérieur : il ne produit aucun effet secondaire existant et agit en étant en adéquation avec le milieu vital dans lequel baignent nos cellules, celui-ci étant composé des mêmes éléments que le milieu vital, dans les mêmes proportions et sous forme organique, donc prêt à l'emploi directement par nos cellules !

Conclusion : Tous les jours de nouvelles réponses miracles sont présentées au public et l'on apprend peu de temps ensuite les effets secondaires tout autant nocifs, ou bien qu'il y a de nouvelles molécules arrivant, sûrement meilleures. Ne pouvant savoir précisément comment l'organisme utilise et interagit avec toutes les molécules, minéraux, vitamine, etc., cette manière de faire de la médecine ne fait qu'alimenter cette fructueuse « valse des médicaments » produite par les laboratoires pharmaceutiques.

Aujourd'hui les praticiens qui ont décidé de prescrire du plasma marin dans de nombreux cas, et notamment l'ostéoporose, arrivent à améliorer sensiblement l'état de santé de leurs patients. C'est le cas en Colombie où l'État prend en charge les soins à base d'eau de mer ou du dr. Pros à Barcelone qui reçoit toujours plus de patients satisfaits par ses traitements – entre autres – à l'eau de mer.

De plus en plus de personnes comprennent, comme cela est le cas avec l'agriculture, que nos méthodes modernes de traitement des corps ont montré leurs limites. Quand un produit naturel comme l'eau de mer (ou plasma marin, après René Quinton) permet tant de bienfaits sans aucun effet secondaire, le changement ne peut que avoir lieu, les gens étant chaque jour plus conscient des résultats excellents de certaines méthodes naturelles.

 

Sébastien, Santé & Plasma Marin,

1 (Professeur Dr. Marc François Payá est un docteur en médecine à l'université de Montpellier. Il est membre de académie de New York, membre de l'association orthopédique américaine et membre de l'association Francesca da Dor, et directeur médical de ses laboratoires)